Né en 1946 en Floride, Rob Williams était un Américain qui a connu une première vie florissante dans le monde des affaires. Il réussissait. Il gagnait très bien sa vie.

Mais il sentait que quelque chose manquait profondément : du sens.

Cette insatisfaction intérieure l’a amené à une reconversion radicale : il devint psychothérapeute, avec le désir sincère d’aider les gens à se transformer en profondeur.

Son cabinet connut lui aussi un grand succès, mais rapidement, une nouvelle frustration émergea : il devait refuser d’accompagner certaines personnes, faute d’outils suffisamment rapides.

Malgré la motivation de ses patients, les changements restaient souvent lents, laborieux, fragiles ou épuisants.
Rob, qui venait d’un monde où l’efficacité comptait, s’est posé une question centrale :

Pourquoi est-ce si difficile de changer, alors qu’on sait ce qu’on veut ?

Animé par cette quête, il s’est formé à plusieurs approches : kinésiologie, PNL psychologie énergétique, neurosciences…

Et s’est beaucoup inspiré de sagesses anciennes, dont celle des peuples inuit.
C’est d’ailleurs là qu’il rencontra la notion d’Isumataq — celui qui garde l’espace sacré pour que l’autre puisse voir en lui-même.

Rob adopta cette posture de facilitateur :
Il ne dirigeait pas le processus, il soutenait.
Il accompagnait, en comprenant que chaque personne sait mieux que lui ce qui est bon pour elle-même.

En 1988, il créa PSYCH-K®, une méthode qui combine profondeur et efficacité.
Conçue pour transformer les croyances limitantes directement au niveau du subconscient, avec la rapidité du monde de l’entreprise et la bienveillance du soin.

Sa vision :
Le changement n’a pas besoin d’être douloureux ou lent pour être profond.
Il est possible de reprogrammer ses croyances de façon fluide, consciente et durable — en s’alignant avec ce que la personne est prête à accueillir.

Rob Williams s’est éteint en 2024, laissant derrière lui un héritage transformateur, toujours vivant à travers les facilitateurs du monde entier.